Le chaud des mensonges

Si la cause est derrière
Je dois juste accepter de ne plus la chercher.
Tu as plusieurs visages
Même si il y a peux, tu étais une, et nous deux.

Vos bouches marquent les frontières.
De ces attentes courbées par le poids partagé.  
Lors des danses qui propagent
Mes désirs et tes vœux, ou les larmes sous nos yeux.

Nos souffles sont les lumières
Qui scindent l’éternité en absence et regret.
Sans mer pas de naufrage
Pour oublier l’enjeu, on s’enivre de jeux.

Sur la pente du cratère
Qui surgit acéré comme un orage d’été.
Seuls restent nos sillages
Que veut dire un adieu quand on ne croit plus en Dieu.