Cette distance qui enfle avec le temps.

Les caresses et tempêtes meurent en grains qui s’empilent;
Sur les mousses qui roulent de l’écorce du vide
À celui de ton dos.

Ton esprit en coquille au sommet clair des grottes;
S’enroule comme une pluie sur les souffles passés
Réunis en échos.

Sous la terre que l’on fouille et que foulent mes envies;
Une croix de mon ongle sur ta peau qui est tout
Ce qui cache tes os.